Tag "jesuisfaible" sur NOT TOMORROW YET

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2 résultats trouvés pour jesuisfaible

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Tag jesuisfaible sur NOT TOMORROW YET LRoakEASujet: ≡ dépenser ses points
Invité

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Rechercher dans: les points   Tag jesuisfaible sur NOT TOMORROW YET EmptySujet: ≡ dépenser ses points    Tag jesuisfaible sur NOT TOMORROW YET EmptyMar 28 Mar - 22:10
pseudo ≡ Trish Simmons
nombre de points actuel ≡ 634
bonus choisis ≡ Un DC por favor Tag jesuisfaible sur NOT TOMORROW YET 3469621788 {#}jesuisfaible{/#}
nombre de points restant ≡ 334
Tag jesuisfaible sur NOT TOMORROW YET LRoakEASujet: never-ending why (rory)
Rory Wyatt

Réponses: 19
Vues: 884

Rechercher dans: les fiches validées   Tag jesuisfaible sur NOT TOMORROW YET EmptySujet: never-ending why (rory)    Tag jesuisfaible sur NOT TOMORROW YET EmptySam 17 Déc - 20:18

Rory Wyatt
/ I'll tell you stories bruised and blue /

âge ≡ 31 ans. date et lieu de naissance ≡ 5 octobre 1985 à Elsah, petite bourgade de l’Illinois au cadre idyllique, du genre à se retrouver sur un carte postale ou dans le calendrier des postes, entre deux photos de chatons qui bâillent et d’aigle chauve qui pose en mode bitch please, I’m fabulous. origines ≡ Américaines, ça fait plusieurs générations que les Wyatt ont perdu de vue la lignée de leur premier ancêtre ayant débarqué sur les rives du nouveau monde, même pas sûr que le nom soit d’origine. ancien métier ≡ Gamin, il était toujours le premier à lancer des parties de gendarme contre voleur, cowboy contre desperado, super-héros contre super-vilain et ça n’a jamais changé, même la fois où Benji McCormick lui a fait tomber sa dernière dent de lait en lui mettant un coup de poing dans la mâchoire parce qu’il ne voulait jamais jouer un méchant et que c’était « vraiment pas juste, espèce de sale fils à papa ». Benji n’avait qu’à moitié tort : il est évident que Rory a toujours été inspiré par l’admiration qu’il portait à son père, capitaine de police, et que c’est pour marcher dans ses pas qu’il a suivi la voie de défenseur de la justice. Avant l’épidémie, il était agent spécial au FBI et, dans une certaine mesure, il considère toujours l’être : ce n’est pas parce que le monde s’est écroulé qu’il ne doit plus être fidèle à la mission dans laquelle il s’est enrôlé pour sa patrie. Néanmoins, suite à une mauvaise expérience, si on lui pose la question il préfère désormais répondre qu’il était policier. ancien lieu d'habitation ≡ Chicago, soit disant la capitale du crime mais pour avoir fait ses armes d’agent spécial à Saint Louis, il est bien placé pour savoir que ce cliché hérité d’Al Capone est depuis longtemps périmé. statut civil ≡ Marié au nom de l’amour et de la loi depuis bientôt deux ans à sa douce Charlotte. Fille du gouverneur de l'Illinois, elle lui avait annoncé dès leurs fiançailles qu’elle avait toujours su que son mariage se ferait en grandes pompes au manoir familial. Finalement, ce fut dans une petite mairie du Nouveau Mexique et avec pour seuls témoins les employés communaux présents qu’ils se passèrent la bague au doigt le 3 Janvier 2015, parce que Rory savait que ce n’était qu’une question de semaines avant qu’il n’y ait plus personne pour distribuer des licences de mariage et parce que, quelques jours auparavant, Charlotte avait désespérément pleuré dans ses bras des « prouve-moi que tu m’aimes. » orientation sexuelle ≡ Les boobs, c’est bien. situation familiale ≡ Il a bien conscience qu’il ne saura jamais ce qu’il est advenu de sa famille mais avec un paternel capitaine de police, même à la retraite, et un grand-frère vétéran de l’Afghanistan, il a l’espoir qu’ils s’en soient sortis.  date d'arrivée au camp ≡ 5 octobre 2016 soit le jour même de son anniversaire, bien qu’il ne fut sur le moment pas en état d’en avoir conscience, ayant subi un accident qui l’avait laissé à seulement quelques petits mètres de pouvoir regarder la faucheuse dans le blanc des yeux. Il n’y a échappé que grâce à Charlotte qui a sué sang et eau en transportant dans une brouette sa carcasse fracassée jusqu’aux portes d’Astoria. On peut dire qu’il a été gâté : la vie, c’est un cadeau devenu assez exceptionnel ces deux dernières années. place dans le camp ≡ Il a mis deux mois à se remettre de ses blessures et n’a pu débuter son travail à la brigade de surveillance externe que début décembre, mais si Charlotte n’avait pas été là pour appuyer les déclarations des médecins d’Astoria et que Rory avait pu n’écouter que lui-même, il aurait pris son poste au moins un mois plus tôt. aptitudes de survie ≡ Son expérience professionnelle et l’entraînement rigoureux qui lui incombait donnaient à Rory, dès le départ, des clés primordiales dans le grand jeu de la survie apocalyptique, autant sur le plan physique que psychique. C’était pourtant pas gagné quand il a commencé sa formation, toujours bon dernier avec sa carrure de crevette qui évolua néanmoins peu à peu, jusqu’à sa sortie de la FBI Academy, en carrure de crevette de combat. It’s something. Bien qu’il ait perdu du muscle suite à de longues périodes de malnutrition et ait subi plusieurs blessures ayant laissé cicatrices et séquelles (dont le genou droit, fracassé il y a un an et qui a pris la fâcheuse habitude de se bloquer de façon random) au cours de son périple de survivant, il garde de bonnes capacités sportives qui lui ont plus d’une fois sauvé la mise. Son esprit rapide à l’analyse et à la réflexion le rend efficace en situation de crise ou de danger ce qui explique sûrement en partie que, au sein du groupe avec lequel Charlotte et lui ont évolué pendant plusieurs mois, ses compagnons s’étaient naturellement reposés sur lui en tant que leader et ce, sans vraiment lui laisser le choix. armes de prédilection ≡ Son arme de service, un Glock 22 qu’il avait depuis le début de sa carrière lui a été dérobée il y a plus d’un an mais il a pu dénicher un autre exemplaire du même modèle sur le cadavre d’un collègue anonyme et qui gargouillait en se tortillant comme un ver, empalé sur une clôture. traits de caractère ≡ Rory, il a le gène du super-héros, l’alignement loyal bon, le cœur sur la main et il la tend aussi aisément que l’autre joue mais n’essayez pas de profiter de lui ou, encore pire, de vous en prendre à un innocent devant ses yeux car il n’hésitera pas à vous ramener par la peau du cul sur le chemin de la droiture et ce, même si lui et vous devez y laisser des plumes. Sans oublier que tout super-héros a un côté obscur et si Rory tient mordicus à le cacher aux yeux des autres — et surtout à ceux de sa femme — il ne peut ignorer que sa jalousie un peu lâche, ses tendances obsessionnelles ainsi que sa fierté têtue le poussent irrémédiablement dans des retranchements bien sombres de sa psyché.
the killer within

(i) Quand il était enfant, il avait un petit lapin gris qui s’appelait Judy. Un jour, alors qu’il lisait un comics en grignotant un biscuit, Judy le mordit pour lui voler sa friandise. Avec décors, costumes et accessoires, Rory monta toute une mise en scène d’arrestation et de procès avec la ferme intention de remettre la lapine dans le droit chemin. Ça fonctionna, Judy n’a plus jamais ni mordu, ni volé, et elle devint même la partner de Rory quand celui-ci allait chasser les méchants au fond du jardin de la maison de ses parents. (ii) On lui a toujours dit qu’il avait les yeux de sa mère. Le problème, c’est qu’elle portait des culs de bouteille, et que Rory savait devoir posséder une vision parfaite afin d’être accepté au FBI. Ayant entendu dire que les carottes étaient bonnes pour la vue, et craignant que ses yeux ne finissent un jour par trop ressembler à ceux de sa mère, Rory, du haut de toute la sagesse de ses onze ans, entreprit de se gaver quotidiennement de carottes. Riche idée qui, en plus d’une chiasse violente, lui donna une peau à la teinte jaune-orangée qui persista de longues semaines après qu’une visite aux urgences ait mit fin à son régime. (iii) Il était bon garçon, bon élève. Toujours dans les rails, jamais de vagues. C’était l’enfant parfait, Rory. Sauf une fois, à seize ans, quand il a osé faire le mur pour aller rejoindre Ada Ferguson, l’intello de la classe, qui lui soutenait mordicus que la banquette de la Chevrolet de son père était noire alors que Rory restait formel : elle était anthracite. Question de rigueur et d’impartialité scientifique, il fallait enquêter, et quel meilleur endroit pour une enquête que le sommet de la colline surplombant le village. La nuit. Sous la pleine lune. Résultat : une virginité en moins, mais aussi une interdiction de sortie d’une durée d’un mois proférée par ses parents dans les yeux desquels il lut la déception pour la toute première fois et, quand Ada comprit que sa crevette de mec ne comptait plus désobéir à ses vieux même pour tous les vagins du monde, une rupture en prime. N'empêche que la banquette était bien anthracite. (iv) Il n’était pas le meilleur de l’Académie, Rory. Malgré tous ses efforts, il restait éternel second derrière ce grand péteux de Jo Earl et ça, il avait du mal à le digérer. Jusqu’au jour de la remise de diplôme, où son rival de toujours tenta d’aborder la magnifique blonde qui papillonnait autour du gouverneur de l’Illinois, et qui mit à Jo un mistral de qualité royale pour jeter son dévolu sur Rory. Un an plus tard, alors qu’il obtenait du gouverneur la main de sa fille Charlotte, Rory se dit qu’il n’avait peut-être qu’à peine plus d’un quart de siècle, mais que sa vie était déjà parfaite. (v) Pendant longtemps, cependant, ce ne fut jamais le bon moment pour organiser le mariage. Il y avait toujours trop de boulot, trop de déplacements, pas assez de congés, pas assez d’argent. Et plus le temps passait, plus il semblait à Charlotte que les yeux de Rory se faisaient plus sombres, les rares fois où il lui arrivait encore de les poser sur elle, sans vraiment la voir. C’était ce putain de boulot, pleurait-elle, il finirait par avoir sa peau, par l’user, l’étioler, le muer, irrémédiablement, avant même qu’il n’ait trente ans.
weekly appointment

≡ qui étiez-vous avant que l'épidémie se déclenche ? J’étais flic, inspecteur pour être précis. Mais j’étais pas de ceux qui abusaient de leur pouvoir pour écraser gratuitement les autres et compenser leurs complexes d’infériorité. Tout ce que je voulais — et ce que je veux toujours — c’est protéger les miens, mon prochain, ma patrie. J’ai même pas d’origin story, pas de parent brutalement assassiné, pas de cœur brisé, pas même de jouet racketté dans la cour de récré. J’ai fait ça par vocation, et par admiration pour mon père. C’est lui qui m’a inculqué l’appréciation et surtout la nécessité de l’ordre et de la loi.
≡ comment avez-vous changé depuis le début ? Je n’ai pas changé — je ne peux pas changer. Charlotte compte sur moi, elle a besoin de moi tel qu’elle m’a épousé. Je suis tout ce qui lui reste… et inversement. Je ne pourrais plus me regarder dans le miroir si je déviais de mon chemin et qu’elle devrait en souffrir… Quoique… Si, j’ai peut-être changé… J’ai peut-être changé un peu depuis le début de tout ça : je suis encore plus déterminé qu’avant à préserver ce qu’il reste en nous de notre vie d’avant, ce qui fait que nous sommes nous, elle et moi.
≡ combien de rôdeurs avez-vous tué ? combien d'humains ? pourquoi ? Des morts ? Plusieurs poignées, même si je préfère le plus souvent l’infiltration à l’assaut : c’est pas comme si j’avais un stock de balles illimitées. Quant aux vivants… Seize. Non, dix-sept… Dix-huit… ? Une vingtaine, peut-être, si certains ont succombé à leurs blessures. Peu importe qu’ils aient été un ou vingt de toute façon, c’est déjà trop, même si je n’ai jamais ouvert le feu sur un être humain qu’en appliquant scrupuleusement les règles de ma profession, pour protéger et servir.
≡ qu'attendez-vous d'astoria ? Pour être honnête avec vous, j’essaye de ne pas trop en attendre. Nous nous étions établis avec d’autres survivants dans un stade qui a été notre refuge pendant presque un an. Au fil du temps, la communauté a grandi et prospéré. Jusqu’au jour où on a laissé rentrer les gens de trop, ceux qu’il fallait pas. Je l’avais senti, j’aurais dû agir plus tôt… Ils ont retourné une bonne partie de la population contre… contre notre leader. Ça a dégénéré, tout s’est écroulé et… Charlotte et moi, on a eu de la chance de s’en sortir, mais ça n’a pas été le cas pour trop de nos compagnons. Cette expérience m’a bien montré qu’il n’y a plus assez de gens qui croient en l’ordre. L’anarchie s’est répandue dans le monde et je ne peux m’empêcher de craindre qu’elle finira par réussir à enfoncer les portes d’Astoria. Je pense pas que ni nous, ni les générations futures — s’il y en a — retrouverons un jour la vie que nous avions auparavant. Mais la vérité, c’est que je veux encore y croire. Je veux croire que nous pouvons reconstruire quelque chose sur les ruines de notre civilisation. Astoria pourrait réussir là où d’autres ont échoué.
≡ qui avez-vous perdu ? Les amis, les collègues, les compagnons de route… c’est plus que des souvenirs trop lointains, flous, sur lesquels j’ai parfois du mal à remettre un nom, un visage. Il n’y a que ma famille que je serais incapable d’oublier et qui compte réellement. L’épidémie m’a séparé d’eux, à jamais, je le crains ; pourtant je crois que, parfois, je réalise encore difficilement à quel point mes repères ont implosé. Mon père c’était mon phare, ma mère, mon roc et mon frère, mon compagnon de galère ; mais, dans la tempête, Charlotte… Charlotte, elle est ma bouée de sauvetage.
≡ quel(s) espoir(s) vous reste-t-il ? Je ne sais pas… Un espoir fou, à la rigueur : celui de savoir un jour si mes parents et mon frère s’en sont sortis. Rien d’autre, du moins je crois… Ah, si, j’ai encore plus fou si ça vous intéresse, ou si ça peut vous amuser : parfois, quand je me laisse aller à me remémorer le passé, je peux pas m’empêcher d’espérer que, un jour, je clôturerai enfin l’affaire sur laquelle j’ai passé des mois à m’arracher les cheveux, avant que le monde ne s’écroule. Que voulez-vous ? Je déteste laisser une entreprise inachevée.
sandrider, marie
âge ≡ assez vieille pour ne plus me souvenir de mes sujets au bac. fuseau horaire ≡ variable. comment êtes-vous tombé sur le forum ? ≡ c'est pas moi c'est eux. fréquence de connexion ≡ ultime. des questions ? des suggestions ? ≡ oui. un dernier mot ? ≡ #JeSuisFaible.
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