INSCRIPTION : 27/10/2016 MESSAGES : 168 IDENTITÉ : Miss B. FACECLAIM : Ruth Negga | Miss B. (avatar) - Tumblr (gifs) - Code signature (Solosand) MULTILINKS : Yancy || Mason || Randall || Morgan POINTS : 251STATUT CIVIL : Elle a été mariée. Deux fois. Et elle est veuve. Une fois. ANCIEN MÉTIER : Boxeuse professionnelle : ça cognait et ça cognait bien. Double championne du monde des poids légers, rien que ça. Du coup, ses poings sont à éviter au possible. PLACE DANS LE CAMP : Technicienne en maintenance des clôtures HABITATION : uc ARME DE PRÉDILECTION : Ses poings mais à notre époque, ça n'est pas assez efficace alors, Rose, elle use de tout ce qu'elle trouve. Faut dire qu'elle n'est pas difficile mais bon, on va pas se mentir : elle affectionne particulièrement les armes à feu. Elle a les boules depuis que les autres cons se sont pointés parce qu'on lui a retiré son Desert Eagle. ÂGE : Quand les cons de morts se sont relevés, elle venait de fêter ses 32 ans : elle a décidé d'arrêter de compter à ce moment-là donc 32 ans et on cherche pas plus loin.
( walker survival guide )
Sujet: A long way to go || Elsie Jeu 9 Fév - 16:36
Il est terrible ce sentiment d’inutilité. Terrible. Parce que les grilles sont fermées. Totalement fermées aux nouveaux venus. Alors oui, je continue à voir des habitants, je continue à leur apporter mon aide au quotidien quand ils en ont besoin mais, ce pour quoi j’ai travaillé, ce pour quoi j’ai tant donné quand le camp a été créé a disparu. Disparu… J’y ai mis tout mon cœur dans ces questions. Je voulais faire les choses correctement. Je tenais à ce que ces entretiens nous permettent de bien cerner les gens pour nous éviter les mauvaises surprises tout en permettant au plus grand nombre de nous rejoindre pour reconstruire une communauté, peut-être même le début d’une nouvelle civilisation. Je voyais peut-être trop grand et mes envies et ambitions ont volé en éclats quand le conseil a décidé, à la majorité, de fermer les grilles. Les membres de l’autre communauté nous ont attaqués, ils ont fait beaucoup de dégâts et c’est pour ça qu’il a été décidé que plus personne ne pouvait nous rejoindre mais ce n’est pas la solution : ça ne l’est pas… On ne peut pas interdire l’accès au camp à tout le monde parce que certains sont monstrueux. Je ne parviens pas à voir les choses de cette façon, vraiment pas, et pourtant, la décision a été prise. La majorité l’a emporté, c’est ainsi et depuis… Depuis je rumine. Depuis je me sens inutile parce que j’ai perdu ce pour quoi je m’étais battu et c’est terrible car cela me fait perdre l’envie de m’occuper des autres. Je le fais mais je le fais avec beaucoup moins d’entrain et d’envie…
Je m’éloigne de celui que j’étais et je n’aime pas ça.
On frappe à la porte, timidement, et je me détourne de la fenêtre.
« Un instant. » je dis d’une voix forte.
Je replace ma chemise correctement, et vais jeter un rapide coup d’œil à mon reflet dans le miroir au mur un peu plus loin : j’ai peur de ne pas inspirer autant confiance que d’habitude. J’ai mal dormi, je suis cerné… Je soupire, me recoiffe un peu (mes cheveux ont beaucoup poussé en fait) et vais ouvrir la porte. Je me retrouve face à face avec Elsie. En vrai j’ai oublié. J’ai oublié que c’était aujourd’hui sa première séance toute seule. Je vois tellement peu de monde ces derniers temps… Je devrais mieux me souvenir de qui vient quand mais c’est l’inverse. Certes, c’est écrit sur mon agenda et pourtant… Pourtant j’ai oublié. Je ne laisse rien paraître et esquisse un sourire que j’espère rassurant et qui la mettra en confiance. Je pourrais la confondre avec sa sœur mais non, je les distingue parfaitement bien. Il y a cette différence dans leurs regards respectifs, une lueur absente dans les yeux d’Elsie et aujourd’hui, il s’agit de sa première séance avec moi sans sa sœur. La toute première. C’est un grand pas. Pendant un instant, alors que je l’observe, j’oublie ce sentiment d’inutilité : pour le coup, elle a besoin de moi et même si je ne suis pas au meilleur de ma forme, je vais devoir faire de mon mieux. Je vais devoir lui donner, à elle, le meilleur de moi-même.
« Bonjour. Entre je t’en prie. »
Et quand elle entre, je prends soin de ne pas totalement fermer la porte. Je la pousse assez pour que notre entrevue reste confidentielle même si quelqu’un arrive dans le couloir mais je ne ferme pas pour la bonne et simple raison que je ne veux pas qu’Elsie ait l’impression d’être coincée dans cette pièce avec moi.
« Installe-toi où tu veux. » j’ajoute en avançant à l’intérieur du bureau.
Si elle choisit de s’installer sur la chaise face au bureau je retournerai sur ma chaise. Si elle choisit plutôt le fauteuil ou le canapé, j’irai la rejoindre là.
A elle de décider. C’est elle qui mène la danse et pas l’inverse.
(c) sweet.lips
Elsie Greene
staff / ruler of astoria
INSCRIPTION : 06/01/2017 MESSAGES : 300 IDENTITÉ : dragonfly in amber // léa. FACECLAIM : daisy ridley, avatar @wolfgang. MULTILINKS : margot la badass™, ofelia la montagnarde et murphy le looser. POINTS : 434STATUT CIVIL : coeur brisé, impossible à réparer. la poupée n'est plus capable d'aimer de cette manière. ANCIEN MÉTIER : elsie aidait son père, dans sa boutique d'articles de chasse. la gamine rêvait de devenir park ranger, mais l'apocalypse lui a arraché. PLACE DANS LE CAMP : assignée à la chasse, perdue dans la forêt, le seul endroit où elle se sent véritablement en sécurité. ARME DE PRÉDILECTION : le vieux fusil de chasse de son père, gravé au inital du vieux greene : sg. pour les rôdeur, elle a ce long bâton qu'elle utilise pour leur briser le crâne. ÂGE : l'innoncence de la jeunesse, à peine majeure ; la gamine n'a que vingt-et-un ans.
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≡ last man standing jokers: 1 inventaire: le fusil de son père // son ancien téléphone déchargé, rempli de photos et de musique // un couteau, toujours caché dans sa botte //
Sujet: Re: A long way to go || Elsie Dim 19 Fév - 14:04
Dans sa poitrine, son coeur fort. Un rythme effréné qui résonne dans son corps tout entier, qui écho les tremblements de ses mains. Même la main rassurante de Sofie piégée dans la sienne ne suffise pas à l’apaiser. Parce que la gamine sait que bientôt, elle devrait la lâcher. Que bientôt, elle serait seule, enfermée dans cette pièce. Elsie avait fait des efforts, depuis son arrivée. Elle qui avait promis à Sofie d’essayer, la Greene faisait de son mieux pour ne pas décevoir celle qu’elle aimait tant. Elle tentait de faire confiance, elle tentait de reprendre ses marques. C’était dur, mais pour sa jumelle, elle était prête à tout. Tout ou presque. L’idée de la quitter, même le temps d’une consultation avec le psychologue, la rendait malade. La sauvageonne réapprenait à être seule, ce ne serait pas la première fois ; mais coincée dans le bureau de Joseph, elle se sentait encore plus prisonnière. Plus vulnérable. La gamine sait que quelque chose cloche chez elle, qu’elle est définitivement brisée. Et elle détestait en parler. « Fais moi confiance, El ! » souffle sa jumelle, alors que le regard apeuré de la Greene fixe Sofie d’un air sceptique. A Sofie, elle voulait bien faire confiance ; à Joseph, c’était une autre histoire. « Je serais là quand tu auras finis, je t’attend dans la salle d’attente. » Frénétiquement, Elsie secoue la tête. Mais ça n’empêche pas Sofie de frapper contre la porte, trois coup sec, et de tourner les talons. Elsie s’accroche, plus que de raison, à la main de sa jumelle. Mais finalement ses doigts lui échappe et elle regarde Sofie s’éloigner dans le couloir. « A tout à l’heure ! »
Immobile devant la porte, tremblante, la gamine attend. Des secondes qui lui paraissent des siècles. Puis finalement, la porte s’ouvre et Elsie sursaute ; elle fait un pas en arrière alors que la silhouette familière de Joseph se dessine. « Bonjour. Entre je t’en prie. » Pour toute réponse, Elsie hoche la tête. Si avec sa soeur, les mots se font plus facile, elle reste muette le plus souvent, avec les autres. La chasseuse s’avance à pas timide dans la pièce, prenant soin de balayer la pièce du regard, à l’affut du moindre danger. Un coup d’oeil dans le dos, et elle remarque que la porte n’est pas entièrement close. La Greene apprécie les attentions du docteur, elle savait qu’il faisait de son mieux. Sofie lui répétait souvent. « Installe-toi où tu veux. » Plantée au milieu de la pièce, la gamine hésite quelques instants avant de choisir mécaniquement le fauteuil, où elle a l’habitude de s’asseoir avec sa soeur. Ca lui fait tout drôle, que Sofie ne soit pas là. Tout drôle, de ne pas avoir de main à tenir. Elsie s’installe, avant de relever un regard craintif vers Joseph. Sur ses traits, un sourire timide, à peine visible ; la belle veut faire des efforts, mais elle ne sait plus trop comment faire.
Rose O'Toole
member / settler of astoria
INSCRIPTION : 27/10/2016 MESSAGES : 168 IDENTITÉ : Miss B. FACECLAIM : Ruth Negga | Miss B. (avatar) - Tumblr (gifs) - Code signature (Solosand) MULTILINKS : Yancy || Mason || Randall || Morgan POINTS : 251STATUT CIVIL : Elle a été mariée. Deux fois. Et elle est veuve. Une fois. ANCIEN MÉTIER : Boxeuse professionnelle : ça cognait et ça cognait bien. Double championne du monde des poids légers, rien que ça. Du coup, ses poings sont à éviter au possible. PLACE DANS LE CAMP : Technicienne en maintenance des clôtures HABITATION : uc ARME DE PRÉDILECTION : Ses poings mais à notre époque, ça n'est pas assez efficace alors, Rose, elle use de tout ce qu'elle trouve. Faut dire qu'elle n'est pas difficile mais bon, on va pas se mentir : elle affectionne particulièrement les armes à feu. Elle a les boules depuis que les autres cons se sont pointés parce qu'on lui a retiré son Desert Eagle. ÂGE : Quand les cons de morts se sont relevés, elle venait de fêter ses 32 ans : elle a décidé d'arrêter de compter à ce moment-là donc 32 ans et on cherche pas plus loin.
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Sujet: Re: A long way to go || Elsie Ven 3 Mar - 17:26
Elle est enfermée dans un mutisme que je ne lui connais que trop bien, pas qu’elle n’ait jamais rien dit durant nos séances, bien sûr qu’elle a parlé durant nos séances mais peu, pas beaucoup et là, son silence, il est expliqué par le fait qu’il s’agisse là de sa première séance seule à seul avec moi, sans sa sœur jumelle. Elle est sans aucun doute habitée par une réelle appréhension de se retrouver seule avec moi, sans celle qui est sa moitié et son repère. Il est de mon devoir de faire en sorte qu’elle se sente le mieux possible, le plus en confiance possible, sans crainte aucune. C’est pour cela que lui propose de s’installer où elle le désire : il faut qu’elle prenne conscience que c’est elle qui mène la barque, elle qui décide où elle va, quand elle y va et si elle veut y aller, pas moi. Elle choisit finalement sans surprise le fauteuil où elle s’est toujours assise jusqu’à présent sauf qu’aujourd’hui, elle s’y installe seule : elle n’a pas sa sœur à ses côtés. Lorsqu’elle est assise, elle relève son regard vers moi et la crainte que j’y lis me fait très sincèrement mal au cœur. J’aimerais être capable de faire disparaître cette crainte en une séance, là, maintenant, j’aimerais pouvoir faire en sorte qu’elle sorte d’ici sans plus jamais regarder personne de cette façon mais je suis psychologue, pas magicien ni faiseur de miracles et Elsie va avoir besoin de temps, de beaucoup de temps. Au-delà de la crainte, je perçois cependant l’ombre d’un sourire étirer les lèvres de la jeune femme et je lui adresse un large sourire rassurant avant de prendre place sur un fauteuil en face de celui sur lequelle elle s’est installée. Une fois assis, je croise les jambes puis croise mes mains sur mes genoux.
« Tout va bien Elsie. » je lui dis avec douceur. « C’est différent parce que tu es toute seule aujourd’hui mais je ne serai pas différent. Tu n’as rien à craindre. »
Le dire ne suffit sans doute pas il est important de communiquer avec elle, de ne rien laisser sous-entendre : tout doit être dit, tout doit être clair, c’est primordial pour qu’elle se sente bien et que les choses se passent au mieux.
« Et si tu veux arrêter, on arrête. Tu n’es obligée de rien Elsie. »
Là aussi, pas de sous-entendu. Je lui ai laissé le pouvoir en la laissant choisir où s’installer, et le pouvoir lui appartient véritablement pleinement. Je m’adosse dans le dossier du fauteuil, m’installant confortablement, détendu, en espérant bien que cette attitude aura un effet miroir sur Elsie et que cela lui permettra de se détendre davantage.
« Bon, en dehors du fait qu’être ici toute seule soit difficile, comment te sens-tu ? Aujourd’hui… En ce moment… »
J’ai besoin de saisir son état d’esprit actuel car la décision qui a été prise et que je dois lui annoncer n’est pas une décision qui a été prise à la légère et loin de moi l’idée de lui retirer la possibilité de faire ce qu’on veut bien qu’elle fasse mais si elle n’est pas prête… Eh bien si elle n’est pas prête, je ne pourrai pas lui annoncer la bonne nouvelle et je ne demande que ça alors, intérieurement, j’espère qu’elle sera sincère tout en disant ce que j’ai besoin d’entendre.
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Elsie Greene
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INSCRIPTION : 06/01/2017 MESSAGES : 300 IDENTITÉ : dragonfly in amber // léa. FACECLAIM : daisy ridley, avatar @wolfgang. MULTILINKS : margot la badass™, ofelia la montagnarde et murphy le looser. POINTS : 434STATUT CIVIL : coeur brisé, impossible à réparer. la poupée n'est plus capable d'aimer de cette manière. ANCIEN MÉTIER : elsie aidait son père, dans sa boutique d'articles de chasse. la gamine rêvait de devenir park ranger, mais l'apocalypse lui a arraché. PLACE DANS LE CAMP : assignée à la chasse, perdue dans la forêt, le seul endroit où elle se sent véritablement en sécurité. ARME DE PRÉDILECTION : le vieux fusil de chasse de son père, gravé au inital du vieux greene : sg. pour les rôdeur, elle a ce long bâton qu'elle utilise pour leur briser le crâne. ÂGE : l'innoncence de la jeunesse, à peine majeure ; la gamine n'a que vingt-et-un ans.
( walker survival guide )
≡ last man standing jokers: 1 inventaire: le fusil de son père // son ancien téléphone déchargé, rempli de photos et de musique // un couteau, toujours caché dans sa botte //
Sujet: Re: A long way to go || Elsie Lun 20 Mar - 17:50
Ca la tue, la gamine, d’être comme ça. Dans son esprit, les souvenirs sont vifs, elle se rappelle de celle qu’elle était avant. De celle qu’elle n’est plus. Elle se rend compte de celle qu’elle est devenue, et que la peur qui la ronge est construite de toute pièce par son esprit brisé. Elle sait pertinemment qu’elle ne risque rien sans sa soeur, et qu’elle peut faire confiance à cet homme au sourire chaleureux et au regard honnête. Elle le sait, mais elle n’y arrive pas. Au fond de cette pensée, il y a cette voix qui lui crie de se méfier. Une voix qui ne la quitte jamais, qui hante ses rêves et l’assourdie à chaque moment de ses journées. Ca la fatigue, la poupée. Elle voudrait qu’elle se taise et qu’elle la laisse tranquille. Mais il n’y avait rien à faire. Avec l’aide de Sofie, et de Joseph aussi, Elsie avait réussit à diminuer le volume de cette peur qui la suivait partout ; mais un rien la réveillait, et suffisait à faire l’étouffer. Rien que le fait de ne pas sentir la rassurante main de sa jumelle contre son épaule suffisait à attiser la crainte dans son coeur, et la gamine devait rassembler toutes ses forces pour ne pas prendre ses jambes à son cou. Prostré dans le fauteuil familier, le regard fuyant, Elsie tente de se calmer. Ce n’était pas son premier rendez-vous, après tout. « Tout va bien Elsie. » souffle-t-il doucement, comme s’il lisait dans les pensées paniquées de la Greene. La gamine lui lance un regard timide. « C’est différent parce que tu es toute seule aujourd’hui mais je ne serai pas différent. Tu n’as rien à craindre. » Son coeur s’agite dans sa poitrine, pourtant la sauvage arrive à esquisser un sourire timide, à peine visible sur ses traits fatigué, un sourire plein de gratitude. Jamais elle ne pourrait le remercier assez pour la patiente qu’il lui accordait. « Et si tu veux arrêter, on arrête. Tu n’es obligée de rien Elsie. » La gamine ramène ses jambes contre sa poitrine, assise en boule dans le fauteuil du psychologue. C’est difficile pour elle, mais comme toujours, Joseph avait le don pour la mettre en confiance. C’était rassurant. La gamine rassemble ses forces et décide de faire un effort, pour lui. « Merci. » Le mot s’échappe à peine de sa bouche, un murmure qui se perd dans l’air silencieux de la salle. Ca lui fait tout drôle, de parler à quelqu’un d’autre que sa soeur ; durant les premières séances, Elsie prétendait répondre à sa soeur, et pas à Joseph. C’était plus simple, plus rassurant. Mais pour la première fois, elle n’avait pas d’intermédiaire. Si ce n’était pas encore naturel pour la belle, c’était certainement plus facile que ce qu’elle avait imaginé. « Bon, en dehors du fait qu’être ici toute seule soit difficile, comment te sens-tu ? Aujourd’hui… En ce moment… » La poupée marque une pause. Elle était perdue, traversée par une centaines d’émotions en même temps, tout le temps. C’était décidément plus compliquée pour elle de vivre en communauté que de rester dans la rassurante solitude. « Beaucoup de monde. Tout le temps. Partout. » La gamine exprime ses idées maladroitement, ne sachant plus réellement faire de phrase. Mais elle sait que le psychologue la comprend, plus ou moins en tout cas. C’était autre chose, maintenant que Sofie n’était plus la pour traduire. « C’est … » Elle marque une pause. « Oppressant. »